Mackenzy's Blog

Intelligent ou pas, en fonction de votre caractère et de vos capacités, les autres vous collent une étiquette. On ne peux plus s'en défaire, même si nous changeons. À croire que la première impression donnée aux autres est décisive du reste de notre vie. Alors, faudrait-il tout donner lors de cette première apparation, rien que pour avoir le style de vie que l'on souhaite par la suite ? C'est insensé, il faut l'avouer. On est ce que l'on choisit d'être, pas ce que les autres décrètent que nous sommes. Il n'y a rien qui doit nous empêcher d'être nous même et d'agir tel qu'on le veut, nous pouvons penser, nous exprimer et faire des actes comme on le désir, quand on le désir et où on le désir.

Si notre entourage décide de qui nous sommes, alors nous restons coincés dans ce rôle qui nous est attribué, même si on n'en a pas envie. Après c'est de pire en pire, et personne ne connaît la vraie personne qui se cache en nous. Le problème, si cela persiste, c'est que même nous ne nous conaisssons plus, à cause de tous ces jugements et de ces attentes de la part des autres. On pourrait se demander qui sont "les autres". En réalité, ils sont tous le monde. Nos amis, nos camarades, nos collègues, notre famille, nos supérieurs et même des petites connaissances. 

Mais que faudrait-il faire ? Se laisser faire et se perdre dans une personne inconnue, ou se révolter et décevoir tous ceux qui nous entoure ? Aucune des solutions n'est bonne, dans les deux cas il y aura des hauts et des bas...

                                                                                                             Mackenzy

Vous êtes vous déjà senti...différent des autres ? Ou plutôt devrais-je dire, à part ? Derrière les autres, à les contempler avec une envie folle de les rejoindre, mais sans arriver à le faire ? En réalité, on pense des choses, mais on en dit pas un mot. Pour nous, les mots risque de détruire le peu de chance et d'espoir qu'on a de se faire accepter parmis les personnes de notre entourage. Et puis on les voit rire ensemble, se sourire et se raconter pleins de trucs, et on se demande pourquoi pas nous ? Pourquoi n'y avons nous pas droit également ? Mais quelque chose prend le dessus sur nous, une chose inommable car on ne sait pas nous même ce que c'est. Il y a des filles qui se plaignent pour des bêtises, telles que " j'ai pas compris l'exercice, j'ai pas des cheveux comme toi, je trouve plus mon pull, quelqu'un m'a dit quelque chose qui me déplait, oh ma vie est médiocre ". Alors on écoute car de toute façon on a rien d'autre à faire, mais nous on ne se plaint pas, on garde la douleur en nous sans jamais l'exploiter. On a peur de s'exprimer, de se faire aborder et de croiser le regard des autres. Chaque regard est différent. Il y a ceux qui sont pleins de haine et hautains, ceux qui sont vides, car on ne peut rien déceler à l'intérieur, ceux pleins de joie qui vivent des moments heureux et quelques rares qui inspirent confiance et qui sont pleins de compassion. COMPASSION. Un mot que nous connaissons mais que nous n'avons jamais eu la chance de voir nous tomber dessus.           

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